Gand: manifestons notre solidarité avec l’Ukraine pour le premier mai

Avec le peuple ukrainien, nous voulons la fin de la guerre russe et une paix juste. Dans une Ukraine indépendante et démocratique, libérée de l’occupation et de la répression russes. Le retrait immédiat des troupes russes de toute l’Ukraine et la fin des bombardements russes sont une condition nécessaire à cette fin.
Le 1er mai, nous voulons également diffuser ce message.

Gand dit non:le gaz russe finance la guerre / Russisch gas spijst oorlogkas – Gent zegt nee

La société belge de transport de gaz Fluxys assure le transit du gaz russe par le port de Zeebrugge vers d’autres pays en dehors de l’Europe. Ce faisant, elle alimente le trésor de guerre de Poutine. L’année dernière, le Kremlin en a tiré pas moins d’un milliard de recettes fiscales. Gand, lundi 22 avril à 17h30: le conseil municipal doit se prononcer sur les activités de Fluxys dont la ville de Gand est actionnaire à hauteur de 283 millions d’euros. Manifestons pour mettre fin aux importations et transbordements de Gaz Naturel Liquéfié par la Belgique.

Deux ans de guerre en Ukraine. Quelle solidarité internationale ? – Avec Artem Tidva, syndicaliste ukrainien

Ce 19 mars, deux jours après la réélection « triomphale » de Poutine en l’absence de candidats d’opposition, deux ans après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, la Formation Léon Lesoil et le CEPAG-Borinage 2000 vous invitent à une conférence avec Artem Tidva, membre de l’ONG Mouvement social (Sotsialnyi Rukh) en Ukraine et chargé de campagne pour le Syndicat européen des Services publics (EPSU).

“Un si long mois de février – histoire intime de la guerre en Ukraine” avec Clara Marchaud (autrice) & Coline Maestracci (modératrice)

Clara Marchaud est une toute jeune journaliste envoyée spéciale en Ukraine qu’elle connaissait déjà avant la guerre. Du jour de l’invasion russe, sa vie et celle de ses amis et de ses connaissances, n’a plus jamais été la même. Mais nous, que savons-nous de l’existence quotidienne sous les bombes, des perspectives d’avenir qui s’effondrent ?
De façon tout d’abord chronologique, des jeunes gens, leurs parents aussi, nous racontent la panique un 24 février 2022, la course vers les caves ou le métro, ce qu’on emporte ou pas avec soi, les sentiments qui vous traversent. Viendront ensuite les questions d’engagement, la perception de l’avenir, la décision parfois de s’installer à l’étranger, mais aussi les moments de joie où tout, un instant, semble revenir à la normale.
À partir de choses simples : comment on dort, on aime, on se lave les dents… Comment marche-t-on dans la rue, Clara Marchaud montre une population désormais face à des questions existentielles nouvelles qui sont aussi les plus universelles : vivre dans le chaos, et vivre tout de même.